On s'appelle "Le Dieu Liquide". Cette équipe aborde le thème de l'eau dans les sciènces humanistes. L'eau est un élément primordial dans la nature, un aspect principal dans la vie quotidienne, une source d'énergie et elle reste aux fondations de la vie. Néanmoins, l'eau a été depuis toujours sujet de controverse, de vénération, d'inspiration et des mystères.
Voila, on a choisi d'approfondir ce côté. Năstase Maria, le chef de l'équipe s'est ocupée de rechercher la beauté de cet élément, sous le titre:"L'eau dans les arts". Elle a traité l'eau comme thème en littérature, les arts visuelles, la musique et la cinématographie. Marin Ioana Alexandra et Pană Maria Mădălina s'ocuppent de déceler le monde religieuse. Elles ont divisé cet aspect entre elles. Ioana a traité le bouddhisme, l’islamisme et les religions tribales africaines, avec un nombre des rites qui reveillent les practices étrangers si différents et interessantes. Maria a été résposable de nous introduire dans le judaïsme, l’hindouisme, en presentant les plus interessantes aspects liés sur l’eau. Saghin Sebastian est interessé des mythes, des legendes et des civilisations. Il écrit de l’eau dans les civilisations japonais et chinois, aussi sur les vikings, surtout, il s’est ocupé de la mythologie grécque. Bițineanu Ștefania a été curieuse de rechercher sur les civilisations des portugais et des espagnols. Aussi, elle a été responsable de trouver les tresors des pirates. Les atlants et l'Atlantida ont été aussi des sujets du grand intérêt pour elle, en voyant leur complexité et gloire mistérieuse. Matei Adrian a realisé un recherche approfondi sur la civilisation des romains.
Ce projet a été une opportunité pour mieux se connaître, accumuler des informations, devenir tollerants et beneficier d'une expérience inédite au rapport de l'école roumaine.
Dans l’art, le thème de l’eau est abondamment traité au cours des siècles.
L’eau inspire les peintres mais aussi les poètes. Elle est au cœur de la vie et les poètes la chantent depuis toujours. Métaphore du temps, représentation de la continuité et de l’infini renouveau, l’eau est célébrée pour le plus grand plaisir des amateurs de poésie. De Ronsard aux poètes contemporains, l’eau ravit le lecteur et le convie dans un espace à la fois réel et évocateur qui l’abreuve.
Omniprésente dans l’univers, à la fois source de vie et d’énergie et symbole riche de significations, l’eau est mainte fois chantée par les poètes et les écrivains. Elle emplit de ses notes parfois suaves, parfois âcres les compositions des musiciens : Hendel avec « Water-Music » ou encore Frédéric Chopin avec « Prélude à la goutte d’eau » qu’il écrit à Majorque lors de son voyage avec George Sand ou Debussy avec sa composition «La mer».
Quelle est la couleur de la mer ? L’eau est associée à la couleur bleue. Certains la voient blanche, d'autres verte ou encore azurée. Dans point de vue scientifique, l’eau n’a pas ni couleur, ni odeur, mais pour les artistes peintres l’eau a une couleur changeante .
Si de nombreux artistes ont illustré les aspects symboliques et allégoriques de l’eau, d’autres au contraire se sont intéressés à l’élément dans son contexte naturel. Depuis l’antiquité, le paysage sert de cadre à des vues illusionnistes où se déroulent des scènes mythologiques, puis des épisodes religieux. Dans un premier temps, le paysage et ses composantes servent donc à situer l’unité de lieu de l’œuvre et contribuent à créer une atmosphère.
L’eau a également été pour les artistes le sujet d’expérimentations visuelles extrêmement diverses. L’intérêt des peintres comme Turner, Monet ou Vlaminick ne se porte plus exclusivement sur le paysage dans son ensemble, mais davantage sur l’élément « eau » et sur ses diverses possibilités de rendre les effets atmosphériques, les reflets ondulants et incomplets ainsi que les jeux de lumière.
A partir du XXe siècle, l’eau devient un élément plastique permettant de travailler la fluidité, la transparence et l’immatérialité, dans la peinture, mais également dans la sculpture, la photographie et les installations.
Turner est un peintre de l’eau qu’il représente quasiment dans chaque toile. Il étudie avec précision les effets atmosphériques, affectionne particulièrement les tempêtes en mer et les brouillards.
Dans la lignée de l’impressionnisme, s’ouvre entre 1883 et 1903, autour du poète Maurice Rollinat, la période la plus créative de l’histoire des peintres de la Vallée de la Creuse. L’école de Crozant dont le nom vient du village éponyme, situé à la limite nord du département de la Creuse, regroupe une pléiade de peintres paysagistes qui travaillent sur les rives des deux Creuses, de la Sédelle et de la Gargilesse. Monet attiré par la renommée du lieu y effectua un court séjour de mars à mai 1889 et réalisa une série.
Monet devient rapidement le chef de file de ce groupe, opposé à l’académisme, qui se propose de saisir l’instant éphémère. Il est le peintre des eaux calmes. Dans de nombreux tableaux comme les « Nymphéas », l’eau envahit tout l’espace et le peintre s’attache à représenter les subtils jeux de lumière qu’offrent les reflets de la végétation. Pour la réalisation de son tableau « Un bras de Seine près de Vetheuil », le peintre se déplace dans son bateau- atelier.
A la fin du XIXe siècle et surtout au XXe siècle, elle devient pour les artistes un véritable élément de la recherche esthétique.
Dans le XX-éme siècle, une nouveau art visuelle se cristalise: les bandes dessinées. Auteur de nombreuses séries du héros juveniles, Roger Bussemy a écrit et dessiné en plusieurs épisodes les aventures de Sylvestre qui se déroule au fond des mers.
Du figuré au littéral, ou du philosophique au théologique, l'eau et les images reliées à l'eau suscitent le débat et stimulent les imaginations.
L'eau est aussi le premier miroir de l'homme qui pense. C'est elle qui le guide vers la conscience de soi et la raison.
Grâce à la rivière, nous sommes purifiés ou connectés au domaine des morts, l'eau est un miroir de l'âme.
En s'appuyant sur des œuvres littéraires et picturales, il ne fait aucun doute que l'eau est le premier symbole de la Mère nature.( son premier amour : sa mère.) Chez les poètes romantiques, cette image maternelle se féminise ; Lamartine a beaucoup chanté son désir d'être bercé dans les bras d'une rivière-jeune fille.
Le mythe la fontaine de Jouvence est un symbole de l’immortalité ou de la rejeunissement.
Le mouvement de la mer, sa puissance, ses colères ont inspiré nombre d'écrivains, de musiciens et de peintres. Ce face-à-face que l'artiste entretient avec l'océan est à l'origine d'une foisonnante création littéraire avec des œuvres majeures comme Les Travailleurs de la Mer de Victor Hugo, Vingt mille lieux sous les mers de Jules Verne, La Mer de Jules Michelet ou Moby Dick d'Herman Melville…
La mer est un motive de la fascination et de la terreur. Depuis Homère(VIII av Ch.) et Virgil(I av Ch.) la tradition littéraire n’a cessé de mettre en scène les tempêtes dans des formes renouvellées à la lumière des experiences et des epreuves des navigateurs.
L’eau est souvent une « image » du temps en littérature. Gaston Bachelard lui-même, dans son introduction du essai "L'eau et les rêves" fait une allusion précise au caractère transitoire et temporel de l’eau, en réinterprétant notamment l’héraclitéisme. Héraclite a crée en effet la métaphore du fleuve dans lequel on ne peut se baigner qu’une seule fois, pour faire allusion au changement perpétuel du tout.
Fuyante et informe, l’eau suggestionne l’imaginaire humain. D’Héraclite à nos jours, elle porte la trace du temps auprès de peuples et de cultures séparées par l’histoire ou par la géographie.
L’eau est très versatile d’un point de vue littéraire et se soustrait à une interprétation définitive. L'expression in aqua scribis signifie "Tu ne crées rien de durable, rien de solide. Ce que tu crées est éphémère et voué à la disparition immédiate".
Le Monde du silence est un film documentaire français réalisé par Jacques-Yves Cousteau et Louis Malle entre 1954 et 1955 et sorti pour la première fois en salles en France en 1956, en même temps que sa participation au Festival de Cannes, où il remporta la Palme d'or. C’est l’un des premiers films qui partage avec le publique les merveilles de la vie sous marine.
Les sources utilisées:
Quand Zeus combattit les Titans et les Géants, Poséidon se rangea à ses côtés et tua pour sa part le géant Polybotès, en lançant sur lui un fragment de rocher détaché de l'île de Cos et devenu plus tard l'îlot de Nisyros. Après la victoire commune, l'héritage paternel fut, divisé en trois lots : Zeus eut le vaste ciel, Hadès les ténèbres épaisses du monde souterrain et Poséidon obtint la mer immense.
Egal de Zeus par la naissance et la dignité, Poséidon n'en était pas moins soumis à la puissance souveraine de son frère. Le dieu de la mer en gémissait parfois et s'en irritait, et il osa même un jour conspirer avec Héra et Athéna pour détrôner Zeus ; mais celui-ci fut le plus fort, et Poséidon dut expier sa tentative de révolte en allant servir durant un an l'orgueilleux Laomédon, et construire les remparts de Troie.
L'eau représente la purification, la clarté, la profondeur et le symbole de l'unité. Dans le shintoïsme - littéralement "la voie des dieux" les fidèles sont invités à se purifier les mains et la bouche via le Temizu (de te “main” et mizu “eau” ), selon un rituel très précisément codifié. Chaque temple dispose ainsi d'un pavillon réservé aux ablutions appelé Temizuya ou Chozuya.
Étape préparatoire: faire un salut en inclinant légèrement le haut du corps, mains sur le haut des cuisses (comme le montre la première photo de la capture ci-dessous).
Première étape: prendre le hishaku (l’espèce de « louche » toujours présente au point de purification) dans sa main droite, le remplir d’eau et arroser sa main gauche afin de la purifier ;
Deuxième étape: faire passer le hishaku dans sa main gauche et arroser sa main droite afin de la purifier ;
Troisième étape: refaire passer le hishaku dans sa main droite, verser de l’eau dans sa main gauche et la porter à sa bouche pour la rincer. Ne jamais porter directement le hishaku à ses lèvres ;
Quatrième étape: verser à nouveau de l’eau sur sa main gauche pour la rincer après le contact avec la bouche ;
Cinquième étape: rincer le hishaku en le mettant à la verticale afin que l’eau restante coule le long du manche et le remettre à sa place.
Les sources utilisées:
Le bouddhisme est l’une des principales religions mondial. Il représente la manifestation de l’existence et de l’enseignement du Bouddha, une personne qui a atteit la perfection totale (chef spirituel). Sa vie est jalonnée d’allusions aux rivières, lacs et fleuves. En Tibet, il y a des cérémonies organisées près de lacs où ils viennent des fées de temps en temps perturber les humains. Les poissons de ces lac ne sont jamais mangés. L’eau est symbole de pureté par excellence. Un habitude très intéressante c’est quand les bouddhistes versent de l’eau sur les statues de Bouddha, ce qui signifie qu’une personne se purifie.
Dans l’Islam, l’eau occupe une place prépondérante. Le mot “eau” est cité plusieurs fois dans le Coran, le livre sacré. L’eau est l’élément unique qui insuffle la vie au monde. Les musulmans se purifient avant les cinq prières quotidiennes par un rite prècis, aspergeant toutes les parties du corps: dans un ordre fixé, de la tête vers les pieds, en commençant par le côté droit du corps. Un événement très important dans la vie d’un musulman c’est le pèlerinage de la Meque qui répond à un trajet très précis, passant en particulier par l’eau sacrée de zamzam. Les pèlerins doivent se baigner et se recouvrir d’un linge blanc, puis continuer jusqu’à la cité sainte.
Dans les religions tribales africaines, l’eau se rencontre comme source de vie, moyen de purification et autre de régénération. L’eau, séjour des esprits, a son rôle à jouer dans les cérémonies vaudous du Bénin, du Nigeria, d’où le caractère magique des sources, des rivières et des cascades. Ici, l’eau a la tâche de convoquer les esprits du monde souterrain. En plus, il y a des rituels et des invocations pour attirer la pluie qui manque ou pour l’arrêter quand elle est trop abondante. Il y a deux divinités: Amontong, dieu de la sécheresse, et Montongari, dieu de la pluie.
Les sources utilisées:
L’eau est indispensable à la vie, ce qui la rend éminemment précieuse. L'eau est l'élément qui lie toutes choses de ce monde entre elles, son pouvoir est infini, magique. La religion offre à l'eau un statut spécial, une grande importance car elle a permis la conception de l'humanité. L'hindouisme, le christianisme, l'islam, le bouddhisme, le shintoïsme considérent l'eau comme un élément de purification, servant à « nettoyer » la place et l'homme.
Les Juifs ont souffert les conditions de vie difficiles de l'existence dans un environnement désertique. Pas étonnant, donc, à noter la grande importance de l'eau dans la Bible, présente partout, dans divers rites de purification. Pour préserver leur pureté, ils utilisaient l’eau de pluie mise en réserve dans quantité de citernes et de bassins qui servaient à des ablutions rituelles. Cette volonté de purification, quasiment obsessionnelle, est symptomatique d’une période où les rites d’eau étaient d’autant plus nombreux que l’on avait progressivement imposé aux fidèles des rites de pureté réservés initialement aux prêtres. Ainsi, lorsqu’un objet ou un vêtement avait été touché par un païen, il fallait le plonger dans l’eau. De manière plus générale, des ablutions précédaient les repas, accompagnaient les enterrements, les accouchements. À proximité des synagogues se trouvaient également des bassins où l’on pouvait se purifier avant de prier. Au 1er siècle de notre ère, un baptême sera proposé aux païens qui voulaient se rapprocher du judaïsme. Ce baptême était essentiellement un rite de purification et n’intégrait pas totalement au peuple juif, d’où son nom de ''baptême des prosélytes''.
L'Hindouisme est l'une des plus anciennes religions pratiquées encore de nos jours et elle est fortement liée à l’eau. Pour les Indhous, le Gange est un fleuve sacré. Quand un pèlerin se baigne dans le fleuve, c'est le symbole de le recherche de l'union avec l'ultime vérité. Le Gange est pris comme fleuve apportant la sagesse spirituelle. Des habitants se déplacent de loin pour se tremper dans son eau. Ils réalisent même la crémation de leurs morts au-dessus des eaux. Les dévots hindous croient qu'ils auront une meilleure renaissance si leurs cendres sont immergées dans les eaux de ce fleuve.
La puissance spirituelle de l’eau est étonnante. Son importance dans la vie des hommes lui ait attribué un rôle divin. Ce caractère sacré et la charge de symbolisme qui en résulte rend très sensible toute rivalité d’accès et d’usage de l’eau; la vie et la morts sont en jeu.
Les sources utilisées:
Comment ne pas être fasciné par les mystères de l’océan où la vie est un mystère? Sourtout que la vie a commencé dans l’eau? L’océan est une vie, une civilisation très vaste avec beaucoup de secrets. Six curiosités concernnant l’eau:
Les sources utilisées:
L’eau est un des principaux éléments nécessaires à la vie de tous les jours. Dès qu’il y a eu construction de villes dans l’Antiquité, s’est posé le problème de l’approvisionnement en eau : les ressources locales ne suffisent pas, il faut mettre en place un système d‘acheminement en utilisant des sources éloignées de plusieurs dizaines de kilomètres : les aqueducs. Les Romains n’en ont pas été les inventeurs, mais ils les ont perfectionnés avec l’invention du pont-aqueduc et l’utilisation du principe du siphon. L’entretien de ces réseaux de canalisations exigeait une administration efficace. La chute de l’Empire romain au IV-ème siècle entraina l’abandon de ces vastes ouvrages dont il ne reste que de belles ruines. « L’eau est nécessaire pour la vie, pour ses agréments et pour l’usage journalier » affirmait l’architecte romain Vitruve. Aqueducs, puits, citernes, fontaines, thermes, latrines et établissements artisanaux témoignent de l’omniprésence de ce principe vital dans l’espace gallo-romain tout entier. Et l’on reste confondu devant l’ingéniosité et le labeur consentis pour assurer l’approvisionnement et la gestion d’une eau potable de bonne qualité. A tel point que cette eau en vint à symboliser le nouveau mode de vie introduit par Rome…
Thermes de Gaujac
L’aqueduc du Pont du Gard
Château d’eau (castellum divisiorum) de Nîmes.
Thermes d’Aubigné-Racan
Thermes de Constantin à Arles
Thermes de Gaujac
L’aqueduc désigne une conduite qui amène l’eau d’une ou plusieurs sources à un lieu habité.
En priorité étaient généralement approvisionnées les fontaines où chacun pouvait puiser l’eau nécessaire à ses besoins, puis venaient les monuments publics avec surtout les thermes et enfin, en tout dernier lieu, les demeures de quelques riches propriétaires.
Les thermes étaient voués à deux usages : les bains hygiéniques et les immersions dans les eaux curatives. Mais il n’en reste pas moins que la guérison thermale est due au pouvoir bénéfique de l’eau, qui provient donc du caractère sacré des divinités qui l’habitent.
Les sources utilisées:
Năstase Maria a peint un tableau qui recueillit les symboles etudiés de chaque membre de l’equipe.
Bițineanu Ștefania Lucia a réalisé une carte, en representant les voyages de Magellan et Cristopher Colomb, les trésors des pirates et le voyage de Titanic.
Marin Ioana Alexandra et Pană Maria Mădălina ont réalisé un affiche, en representant les religions étudiées.
Saghin Sebastia a réussit de créer une petit histoire imaginaire sur l’eau.
Profondement dans une forêt vieille il se trouve un lac ancien. Le lac est comme une oasis entre les arbres. Autour de lui des fleurs de couleurs differentes poussent et des plantes vertes couvrent les arbres. Une étincelle magique de vie dans lequel ressemble à une forêt morte.
Un jour, à ce lac, un garçon blessé arrive. Fatigué et avec des blessures profondes, il s’effondre près de l’eau. Lentement, il parvient à boire un peu d’eau du lac. Mais il ne savait pas que le lac était vraiment magique.
Outre les nombreuses plantes, le lac était une maison pour toutes les sortes d’esprits; et ces esprits ont protégé leur maison à tout prix. Pour eux, l’enfant était un intrus. Ainsi, les esprits attaquent le garçon. Au dernier moment, avant que les esprits arrivent à prendre son dernier souffle, une belle femme émerge de l’eau. À ses ordres, tous les esprits se sont arrêtés. Elle était la Dame du lac, le plus puissant esprit de la forêt. Elle guérit les blessures du jeune garçon et elle a présenté ses excuses pour ce que les autres esprits ont lui fait, parce qu’elle savait que le garçon ne voulait pas causer aucun dommage. Comme une excuse, elle lui donne une petite bouteille d’eau magique du lac. Sans savoir de ce qui allait se passer le garçon laisse et après lui, un groupe de gens louches vient au lac et demande la même eau magique, mais ils sont refusés.
Rempli de colère, ils brûlent tout dans l’oasis et ils commencent aller après le garçon. Ils lui trouvent dans une taverne dans la ville la plus proche. L’un d’eux commence un combat avec un homme ivre comme une distraction et bientôt le chaos règne à l’intérieur de la taverne. Avec tout ce tapage autour d’eux, ils attaquent le garçon pour lui voler sa bouteille. Il parvient à s’échapper et se jette dans la forêt.
Quand il arrive au bord du lac, il est choqué. Tout a été brûlé , les arbres étaient encore en feu et l’eau du lac était en train de disparaître sous ses yeux. Le groupe ombre arrive et commence à se battre avec le garçon. Ils l’entourent et en dernier ressort, il boit de l’eau magique en face d’eux.
En ce moment, d’innombrables des esprits viennent de la sombre forêt à l’aider. Mais il ne pouvait pas célébrer la victoire, il fut blessé de nouveau et s’effondre à l’intérieur de l’eau du lac. Ensuite, son corps se dissout dans l’eau et la vie éclate soudain du lac et l’oasis renaît.
Et pour le garçon, son âme devient un avec l’eau du lac et il vit comme un esprit à côté de la Dame du lac.
Finalement, ce projet a été une opportunité pour apprendre des nouveaux aspects, d’améliorer la qualité de chacun en ce qui concerne le travail individuel, de réussir à devenir plus tolérants et de pratiquer des éléments de l’informatique, de stimuler la creativité et de recueillir l’éxperience d’un profil scientifique avec des aspects humanistes. Ensuite, on a planté une semence de l’amitié, en traivaillant comme une équipe equilibrée et en discutant sur quelques aspects de la vie qu’on n’a pas abordé avant.
On s’est rendu compte que ce projet est une opportunité inedite car c’est une experience assez differente que cela de
l’école roumaine.
Au revoir!